une cuisine,
un lieu

Le Lyon du chef Nicolas Guilloton,
L’Atelier des Augustins

L’effervescent
quartier Saint-Vincent

Le Lyon de Nicolas Guilloton, c’est d’abord le quartier Saint-Vincent, dans le 1er arrondissement, au centre de la presqu'île. A un jet de pierre de la place des Terreaux, entre les pentes de la Croix Rousse et le quai Saint-Vincent, il a conservé l’esprit des Canuts. Avec ses hauts plafonds à la française, le restaurant de Nicolas Guilloton était sans doute un ancien atelier de confection de soie. 

Pour découvrir ce Lyon-là, rien de mieux que de promener sa curiosité de rues en rues, le long des quais jusqu’au musée des Confluences à la pointe de la Presqu’île. Vivant et coloré, le quartier est animé d’une belle effervescence culturelle, à commencer par le Musée des Beaux-Arts  au sein du Palais Saint-Pierre, le 2ème musée de France après le Louvre, à seulement 300m de l’Atelier des Augustins. Passage obligé aussi par l’Hôtel de Ville, place des Terreaux, chef d’œuvre de l’architecture classique.

De là, il suffit de se retourner pour accéder à l’Opéra de Lyon et son parvis toujours animé. Culture et patrimoine, mais aussi effervescence populaire avec tous les artisans du bon, épiceries colorées d’ici et d’ailleurs, échoppes à bien manger, cavernes d’Alibaba de pains divins comme la boulangerie Antoinette où Nicolas Guilloton se sert.

Le Lyon
des marchés

et de tous les horizons

Le Lyon de Nicolas Guilloton, c’est aussi le Lyon des marchés. Tous les quartiers s’animent d’un défilé quotidien de producteurs de saveurs : le Lyon des goûts et des odeurs, de la gastronomie canaille aussi et de la tradition des mâchons. Sur les marchés, le pouls de la ville bat à tout rompre. Pour prendre de la hauteur, direction la colline de la Croix Rousse, le quartier bohème et multicolore, ancien fief de la soierie. D’ici, le Mont-Blanc laisse apercevoir son toit enneigé.

Avec ses couleurs ocres, ses collines aux belles courbures, 300 demeures historiques autour du quartier Saint Jean formant un exceptionnel ensemble de la Renaissance, sans compter l’influence des marchands florentins dans la cité, Lyon est déjà une porte ouverte vers le sud. Et quitte à se projeter plus loin, pourquoi ne pas partir à la rencontre des vignerons, des agriculteurs et des maraichers des Monts du Lyonnais, puis mettre le cap sur la vallée du Rhône et ses vins de velours ? 

Le Vieux Lyon et ses traboules à en perdre la tête, Fourvière et son impressionnante basilique, les halles Paul Bocuse où la gastronomie siège en reine, la ville des Lumières regorge de lieux, d’histoires et d’expériences à vivre. Pour découvrir l’ensemble des sites touristiques de Lyon, rendez-vous sur le site de l’ Office du Tourisme